En France comme en Angleterre, il est possible de pratiquer la voile sans passer de permis.
Si l'on considère le rapport poids-puissance d'une coque hyper légère affublée d'un moteur hors-bord, il est possible d'atteindre des vitesses dangereuses pour soi et pour les autres en cas de collision.
Ce n'est pas vraiment le cas des voiliers de croisière, généralement équipés de moteurs in-bord diesel peu rapides car conçus comme des auxiliaires au mode principal de propulsion : la voile. De plus, un voilier est naturellement limité par sa vitesse de carène, du fait de sa quille ou de sa dérive. L'utilisation d'un moteur sur un voilier n'est donc pas considérée comme un obstacle à la navigation.
Le paradoxe est que les connaissances à maîtriser pour manoeuvrer un voilier sont plus importantes que celles nécessaire pour conduire un hors-bord... Heureusement, les gens ne se lancent pas à l'assaut de la mer sur un voilier n'importe comment. Néanmoins le débat sur la nécessité de passer un permis pour conduire un voilier ressort régulièrement parmi les plaisanciers.
Reste que les écoles de voile font plutôt bien leur travail et préparent les futurs plaisanciers à la maîtrise d'un voilier. Ceux qui souhaitent se former à la manoeuvre d'un voilier peuvent très bien combiner les permis côtier et hauturier à des stages de voile. Une formule qui offre une approche plus complète de la navigation et qui évite de brûler les étapes par la validation des niveaux agréés par la Fédération française de voile.
Dans la pratique, un loueur de voilier de croisière demande dans la grande majorité des cas un CV nautique au candidat locataire.
En la matière, il est dangereux de sous-évaluer les risques que comporte une location de voilier sans maîtriser les rudiments de la man?uvre à la voile et au moteur. Si les loueurs ont toujours intérêt à travailler, les accidents résultant d'une méconnaissance de la navigation sont imputables au loueur, ce dont les assurances ne se privent jamais... D'où l'intérêt de souscrire à un rachat de franchise !
En France, les conducteurs d'embarcations équipées d'un moteur hors-bord d'une puissance supérieure à 6 chevaux doivent posséder un permis côtier.
Ce titre autorise de naviguer jusqu'à 6 milles nautiques d'un abri (soit environ 10 kilomètres) de jour comme de nuit, sans limite de puissance. Il est possible de passer le permis côtier dans les zones littorales comme en rivière.
Au-delà de 6 milles d'un abri, la législation impose de passer le permis hauturier. Ce dernier permet de naviguer sans contraintes de distance ni de puissance, de jour comme de nuit. Indispensable pour les adeptes de la plaisance au moteur, le programme pédagogique est bien sûr plus ambitieux que son petit frère.
Il comporte notamment des épreuves de navigation sur cartes plus poussées pour être capable de tracer une route, calculer la dérive due au vent ou au courant, réaliser une estime ou faire le point de façon manuelle ou électronique.
Les techniques étudiées pour le permis hauturier sont tout aussi valables pour la navigation à la voile, d'où l'intérêt de passer ces épreuves pour ceux qui souhaitent acquérir rapidement de solides bases théoriques en matière de cartographie
Enfin le Certificat de Radiotéléphoniste Restreint (ou CRR) est obligatoire pour l'utilisation d'une radio VHF (Very High Frequency).
Ces appareils permettent de communiquer avec d'autres bateaux, plaisanciers ou navires de commerce, mais aussi d'émettre et recevoir des messages importants pour la navigation. Le CRR est donc indispensable pour connaître les différentes procédures d'appels de sécurité ou d'urgence, ainsi que l'alphabet international.
En France comme en Angleterre, il est possible de pratiquer la voile sans passer de permis.
Si l'on considère le rapport poids-puissance d'une coque hyper légère affublée d'un moteur hors-bord, il est possible d'atteindre des vitesses dangereuses pour soi et pour les autres en cas de collision.
Ce n'est pas vraiment le cas des voiliers de croisière, généralement équipés de moteurs in-bord diesel peu rapides car conçus comme des auxiliaires au mode principal de propulsion : la voile. De plus, un voilier est naturellement limité par sa vitesse de carène, du fait de sa quille ou de sa dérive. L'utilisation d'un moteur sur un voilier n'est donc pas considérée comme un obstacle à la navigation.
Le paradoxe est que les connaissances à maîtriser pour manoeuvrer un voilier sont plus importantes que celles nécessaire pour conduire un hors-bord... Heureusement, les gens ne se lancent pas à l'assaut de la mer sur un voilier n'importe comment. Néanmoins le débat sur la nécessité de passer un permis pour conduire un voilier ressort régulièrement parmi les plaisanciers.
Reste que les écoles de voile font plutôt bien leur travail et préparent les futurs plaisanciers à la maîtrise d'un voilier. Ceux qui souhaitent se former à la manoeuvre d'un voilier peuvent très bien combiner les permis côtier et hauturier à des stages de voile. Une formule qui offre une approche plus complète de la navigation et qui évite de brûler les étapes par la validation des niveaux agréés par la Fédération française de voile.
Dans la pratique, un loueur de voilier de croisière demande dans la grande majorité des cas un CV nautique au candidat locataire.
En la matière, il est dangereux de sous-évaluer les risques que comporte une location de voilier sans maîtriser les rudiments de la man?uvre à la voile et au moteur. Si les loueurs ont toujours intérêt à travailler, les accidents résultant d'une méconnaissance de la navigation sont imputables au loueur, ce dont les assurances ne se privent jamais... D'où l'intérêt de souscrire à un rachat de franchise !
En France, les conducteurs d'embarcations équipées d'un moteur hors-bord d'une puissance supérieure à 6 chevaux doivent posséder un permis côtier.
Ce titre autorise de naviguer jusqu'à 6 milles nautiques d'un abri (soit environ 10 kilomètres) de jour comme de nuit, sans limite de puissance. Il est possible de passer le permis côtier dans les zones littorales comme en rivière.
Au-delà de 6 milles d'un abri, la législation impose de passer le permis hauturier. Ce dernier permet de naviguer sans contraintes de distance ni de puissance, de jour comme de nuit. Indispensable pour les adeptes de la plaisance au moteur, le programme pédagogique est bien sûr plus ambitieux que son petit frère.
Il comporte notamment des épreuves de navigation sur cartes plus poussées pour être capable de tracer une route, calculer la dérive due au vent ou au courant, réaliser une estime ou faire le point de façon manuelle ou électronique.
Les techniques étudiées pour le permis hauturier sont tout aussi valables pour la navigation à la voile, d'où l'intérêt de passer ces épreuves pour ceux qui souhaitent acquérir rapidement de solides bases théoriques en matière de cartographie
Enfin le Certificat de Radiotéléphoniste Restreint (ou CRR) est obligatoire pour l'utilisation d'une radio VHF (Very High Frequency).
Ces appareils permettent de communiquer avec d'autres bateaux, plaisanciers ou navires de commerce, mais aussi d'émettre et recevoir des messages importants pour la navigation. Le CRR est donc indispensable pour connaître les différentes procédures d'appels de sécurité ou d'urgence, ainsi que l'alphabet international.